5 - La voie des prophètes, seule voie de Jésus comme il l'a dit Mathieu 5.17 à 20, parachevé dans le livre préservé de Dieu Jean 14.16 est le seul qui respecte le droit des nécessiteux, et permet le disparition de la pauvreté, et la défense de la vie des innocents, toutes les autres lois bafouent ces droits fondamentaux


5 — Le droit des nécessiteux, des innocents et des personnes âgées (et le devoir d’assistance à leur égard au titre de l’amour de prochain comme soi-même qui est une condition indispensable pour aller au paradis)


Ces systèmes laïques bafouent, le droit des pauvres à la vie, afin qu’ils puissent à leur tour se développer, que le livre de Dieurespecte et ordonne par le payement de l’aumône légale annuelle et par la solidarité vis-à-vis des nécessiteux. En effet, les lois laïques ainsi que les partisans de la laïcité pour la plupart d’entre eux n’ordonne pas le payement obligatoire de ce droit des pauvres à la vie et à se développer à leur tour en sortant de la pauvreté, qu’ordonne le livre de Dieu, ce qui a pour conséquence l’augmentation du chômage et de la pauvreté dans le pays et dans le monde et de droit est d’autant plus justifié que c’est Dieu qui fait tout à chaque instant pour chacune de ses créatures, y compris les riches et les personnes aisées, car aucune créature ne rien faire par elles si Dieu ne le fait pas pour elle, et les créatures sont de la poussière assemblée sans vie sortie du néant par Dieu et entre les mains de Dieu, dans laquelle Dieu met la vie par laquelle il les anime à tout instant. En effet au lieu de donner aux pauvres leurs droits à la vie et à se développer à leur tour, qu’est l’aumône légale ordonnée par le livre de Dieu enseigné par le consolateur, que Jésus a ordonné de suivre après lui, les lois laïques ne le font pas et au contraire aggrave la pauvreté, en autorisant l’usure à travers les prêts à intérêt, la monnaie papier, les parités monétaires et autres formes d’usure, tout constituant du vol massif des biens d’autrui, car ils prennent les biens des gens sans leur donner la contrepartie en bien réelle, réduisant ainsi les gens à la pauvreté, en les excluant massivement de la vie économique entraînant ainsi l’augmentation massive de la pauvreté et du chômage. La conséquence est que entre 10 et 20 millions de personnes meurent à cause de la pauvreté, liée principalement à l’usure, au non payement de cette aumône légale annuelle, puis à cause des autres injustices, et plus de 1 milliard de personnes qui souffrent de la faim ; 1,4 milliard de personnes qui vivent avec moins de 1 dollar par jour ; plus de 2,6 milliards qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. Alors que pour résoudre cette pauvreté, il suffit seulement de 80 milliards, qui est l’équivalent de 2 millièmes de la fortune de 10,1 millions de millionnaire en dollars qui existent dans le monde, et 2 % de la fortune de 1011 milliardaires qui existaient en 2010 ; le livre de Dieu qui est le consolateur que Jésus a ordonné de suivre après lui ordonne de payer l’aumône légale annuelle, 2,5 % de fortune thésauriser ; il est évident que si c’était fait il n’y aurait plus de pauvre dans le monde, et la crise économique et financière se serait éloignée, surtout si en plus les lois commencent à interdire les 70 branches de l’usure, interdites par le livre de Dieu que le consolateur que Jésus a ordonné de suivre après lui a enseigné.


Voici quelques exemples de versets du livre de Dieu qui est le consolateur 
montrant que ce droit qui est bafoué par les lois laïques, est pourtant ordonné
 et respecté par le livre de Dieu qui est le consolateur, le seul livre à l’ordonner
, il s’agit du Droit des nécessiteux à être sorti de la pauvreté (matérielle, 
spirituelle et religieuse) et leurs à la vie, aux biens, à l’honneur et à avoir
 leurs besoins fondamentaux satisfaits.

1 — Le non-acquittement de l’aumône légale pour les pauvres 
(l’aumône légale : C’est 2,5 % des revenus thésaurisés pendant une
 année, qui doivent être distribué aux pauvres proches de celui à qui la
 somme est prélevée, ou distribuée aux pauvres plus loin de lui) ; le 
payement de ce droit des pauvretés à la vie n’est pas rendu obligatoire 
par les lois laïques alors que cela constitue le droit de pauvre à la vie, 
et cela leur appartient, mais cela est spolié par les lois laïques,
 entraînant ainsi le développement de la pauvreté et du chômage dans
 le monde entraînant entre 10 et 20 millions de morts à cause de cette
 pauvreté dans le monde.

Chapitre 41, verset 6. Dis : « Je ne suis qu’un homme comme vous. Il m’a été 
révélé que votre Dieu est un Dieu unique. Cherchez le droit chemin vers lui 
et implorez son pardon ». Et malheur aux Associateurs 7. qui n’acquittent
 pas l’aumône légale et ne croient pas en l’au-delà ! — chapitre 9, verset 34.
… À ceux qui thésaurisent l’or et l’argent et ne les dépensent pas dans le 
sentier de Dieu, annonce un châtiment douloureux, 35. le jour où (ces trésors)
 seront portés à l’incandescence dans le feu de l’Enfer et qu’ils en seront
 cautérisés, front, flancs et dos : voici ce que vous avez thésaurisé pour vous
-mêmes. Goûtez de ce que vous thésaurisiez. »

2 — Le fait de ne pas être solidaire avec les nécessiteux à tout instant
 selon ses possibilités (de manière générale, le livre de Dieu ordonne
 la solidarité dans tous les domaines vis-à-vis des nécessiteux à tout 
instant, le riche aide le pauvre, le plus savant aide le moins savant, le 
plus fort assure la défense du plus faible ; même si dans certains pays 
’état verse des allocations à certains chômeurs, et certaines personnes
 (les femmes isolées ayant des enfants ou autres dans ce cas), c’est 
encore très loin de la solidarité ordonnée par le livre de Dieu dans le 
cadre de l’amour de prochain comme soi-même et les populations ont
 besoin d’être formées à ces enseignements du livre de Dieu, mais les 
lois laïques ne le font pas.

Chapitre 5, verset 2. Entraidez-vous dans l’accomplissement des bonnes 
œuvres et de la piété et ne vous entraidez pas dans le péché et la 
transgression. Et craignez Dieu >>, car Dieu >> est, certes, dur en
 punition ! Chapitre 9, verset 34. À ceux qui thésaurisent l’or et l’argent 
et ne les dépensent pas dans le sentier de Dieu, annonce un châtiment
 douloureux. Chapitre 2, verset 215. Ils t’interrogent : « Qu’est-ce qu’on
 doit dépenser ? » — dis : « Ce que vous dépensez de bien devrait être pour
 les pères et mère, les proches, les orphelins, les pauvres et les voyageurs
 indigents. Et tout ce que vous faites de bien, vraiment Dieu >> le sait ».

3 — La thésaurisation (cela est interdit par le livre de Dieu qui est le 
consolateur, en cela entraîne l’augmentation de la pauvreté, car des 
milliards sont thésaurisées dans le compte en banque en attente 
d’intérêt, alors qu’ils peuvent être investis sans intérêt, mais avec
 partage des profits et perte, ce qui permet dans l’immédiat d’ouvrir
 des entreprises ou de financer leur développement et de réduire
 significativement le chômage, mais les lois laïques, autorise cette 
thésaurisation sans faire payer ne serait ce que l’aumône légale sur 
les sommes thésaurisées pendant un an, aggravant ainsi la pauvreté 
et le chômage ; tout cela montre depuis le début que la principale 
cause de la pauvreté et du chômage, de l’insécurité et de tous les 
problèmes que l’humanité actuelle est le non-respect des ordres de 
Dieu à travers son livre qui est le consolateur, que Jésus a ordonné
 de suivre après lui, car il enseigne toute chose de la meilleure manière
 en rappelant les enseignements authentiques de Jésus comme ce livre 
l’a fait dans sa première partie verset par verset ; et ce sont les lois
 laïques qui empêchent l’application du livre de Dieu comme seules 
lois dirigeant les pays et le monde alors que c’est la seule solution. 
Donc la première cause de la pauvreté du chômage et de tous ces 
problèmes dans le monde est la laïcité et la démocratie qui ne se
 réfèrent pas au livre de Dieu) ; 

Le fait de thésauriser sa fortune et ne pas la dépenser dans la voie de Dieu 
en aidant à la conversion du monde entier à la pratique du livre de Dieu qui est
 le consolateur, que Jésus a ordonné de suivre après lui, ou en aidant les gens, 
est donc une cause sur de perdition le jour dernier

Chapitre 9, V34, 35 : « .. À ceux qui thésaurisent l’or et l’argent et ne les 
dépensent pas dans le chemin de Dieu >>, annonce-leur (Mohammed) un
 châtiment douloureux ». « Le jour où ces trésors seront portés à
 l’incandescence dans le feu de l’enfer et qu’ils en seront cautérisés, front,
 flancs et dos.. Goûtez de ce que vous thésaurisiez ». Chapitre 3, V180 : 
« Ceux qui gardent avec avarice ce que Dieu >> leur donne par sa grâce,
 ne pense pas que cela est bon pour eux ? Au contraire, c’est mauvais pour 
eux : au jour de la Résurrection, on leur attachera autour du cou ce qu’ils ont
 gardé par avarice » ; le consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité a dit : 
« Ils sont perdants par le seigneur de la Ka’ba »… je répondis qui sont ces
 perdants. » Il me répondit : « Les plus fortunés, à moins qu’ils ne dépensent
 leur argent par-ci, par-là en aumônes, mais ils soient quand même très rares. 
Il n’y a aucun homme qui possèdent des chameaux, des vaches, et des moutons et ne paye pas l’aumône légale à leur sujet, sans que ces animaux ne viennent, au jour de la résurrection plus gros qu’ils étaient (dans ce monde) le frapper par les cornes et le fouleront de leurs sabots, de sorte que le premier, de ces animaux aura passé, le dernier reviendra, jusqu’à ce que les comptes des hommes aient été réglés » ;

4 — Les nécessiteux doivent être bien traités et on ne doit pas rappeler
 l’aumône que l’on a faite ni joindre un tort ou des propos désobligeants
 à celui qui a reçu l’aumône. (les lois laïques ne permettent pas la
 formation des populations à ce type de comportement, alors que le 
livre de Dieu le permet, de manière à ce que l’entraide se fasse de bon 
cœur)
 
 
 
Chapitre 2 (V262 : « Ceux qui dépensent leurs biens dans le sentier de Dieu >>
 sans faire suivre leurs largesses d’un rappel (à quelqu’un du bien que l’on a 
fait pour lui) ni d’un tort, auront leur récompense auprès de leur Seigneur ».
 Chapitre 2, verset 264. ô les croyants ! N’annulez pas vos aumônes par un
 rappel ou un tort, comme celui qui dépense son bien par ostentation devant 
les gens sans croire en Dieu >> et au Jour dernier. Il ressemble à un rocher
 recouvert de terre ; qu’une averse l’atteigne, elle le laisse dénué. De pareils 
hommes ne tireront aucun profit de leurs actes. Et Dieu >> ne guide pas les
 gens mécréants. Il est interdit de parler mal aux nécessiteux et aux gens en 
général : Chapitre 17, verset 28. Si tu t’écartes d’eux à la recherche d’une
 miséricorde de Ton Seigneur, que tu espères ; adresse-leur une parole
 bienveillante.

5 — Gaspiller ses richesses et ne pas la dépenser dans la voie de Dieu
 en aidant à la conversion du monde entier à la pratique du livre de
 Dieu ou en aidant les gens (cela a les mêmes conséquences que la
 thésaurisation, et même pire encore, car les richesses sont gaspillées 
alors que les gens meurent de faim ; (par exemple, le port, par l’homme
, de vêtements en soie et de bijoux en or est explicitement interdit, 
car il empêche les pauvres d’avoir leurs besoins satisfaits, ils peuvent 
mourir à cause de cela, exemple, la faim dans le monde et le manque de
 soins médicaux))
 
Chapitre 6, verset 141. Et ne gaspillez point, car il n’aime pas les gaspilleurs
. Chapitre 17, verset 26. « Et donne au proche parent ce qui lui est dû ainsi 
qu’au pauvre et au voyageur (en détresse). Et ne gaspille pas indûment, 27. 
car les gaspilleurs sont les frères des diables ; et le Diable est très ingrat
 envers son Seigneur.

6 — Le prêt à intérêt et les 70 branches de l’usure de manière générale,
 comme cela a été montré ci-dessus sont des graves atteintes au droit
 des pauvres (ils n’ont aucune contrepartie réelle, ce qui est de l’usure
 et c’est un très grave et grand péché, car il prend injustement les biens
 d’autrui, et les met dans la pauvreté, et empêche les économies de se 
développer, entraîne le chômage et des milliers de morts à cause de 
cette pauvreté dans les pays sous-développés)

7 — Le refus de donner de l’eau ou le nécessaire à ceux qui ont ont 
besoin, alors qu’on en a les moyens ;

Chapitre 107, verset 4. Malheur donc, à ceux qui prient 5. tout en négligeant
 (et retardant) leur prière obligatoire, 6. qui sont pleins d’ostentation, 7. 
et refusent l’ustensile (ou qui refusent le nécessaire à celui qui en a besoin 
alors qu’il en a les moyens). Le consolateur que Jésus a ordonné de suivre après lui a dit (p) : “Il y a trois personnes à qui Dieu >> n’adressera pas la parole le jour du jugement ni ne les regardera : un homme qui jure qu’on lui a donné pour sa marchandise un prix élevé, alors qu’il ment ; un homme qui fait un faux serment prêt l’asr pour s’emparer des biens d’un croyant ; et un homme qui refuse de donner son superflu d’eau et il sera dit à ce dernier : Aujourd’hui tu es privé des bienfaits de Dieu >> comme tu as refuser de donner ce que tu n’as pas créé toi-même (l’eau)”. 

8 — Ceux qui ont respecté les principes du livre de Dieuse sont
rapidement développés et la pauvreté et les nuisances ont disparu 
de leur pays

Les nuisances à autrui avaient quasiment complètement disparu en Arabie 
à la fin de la du livre de Dieu, au point où un bijoutier pouvait aller prier à la 
mosquée en laissant sa bijouterie ouverte, sans gardien, et revenait trouver
 la bijouterie intacte. La pauvreté aussi avait disparu quelque année après, 
notamment sous le califat de Abdel Aziz, ils ont rassemblé l’argent de l’aumône 
légale pour le donner aux pauvres, mais personne n’a eu besoin de cette 
somme, car toutes les populations étaient sorties de la pauvreté, par la 
pratique des solutions coraniques comme le montrent les exemples donnés 
dans ce livre. Il a fallu aussi l’intervention des Imams Châfi et Malik pour
 résoudre la crise économique et financière en Grande-Bretagne aux 7 iles.

b) le droit à l’assistance aux tués et aux frappés ou aux opprimés injustement et ne pas le faire mène vers la malédiction de Dieu et est contraire à l’amour du prochain comme soi-même qui est une condition pour entrer au Paradis et éviter l’enfer



1 — Le droit a défendu en cas d’agression ou quand on subit une injustice (en cas de conflit ou d’agression ou en cas de malheur, le droit à être défendu et assister ; le manque de formations des dirigeants et des populations aux enseignements du livre qui est le consolateur, que Jésus a ordonné de suivre après lui, a entraîné une augmentation de ces cas où des populations se font injustement massacrer et la communauté internationale n’intervient pas militairement pour l’arrêter alors que toutes les tentatives de pourparler sont restées vaines ; ce genre de situation ne restait jamais sans l’intervention de l’envoyé de Dieu et de ses compagnons pour mettre fin à l’injustice, dès que le premier tué était constaté et que l’assassin ou le gouvernement assassin ne s’était par repenti ; l’envoyé de Dieu demandait l’aide de Dieu contre lui, et se mobilisait avec les croyants pour mettre fin aux crimes de ces gouvernements assassins avec leur armée, qui ne juge pas selon le livre de Dieu et qui tue ainsi des innocents. Mais actuellement, le nombre de morts d’innocents peut atteindre des centaines de milliers de morts sans qu’aucun état ni aucune armée n’interviennent pour faire arrêter ces crimes, une autre des conséquences de la laïcité, et de la démocratie sans se référer au livre de Dieu, les états n’agissent que selon leurs intérêts matériels, et non selon les ordres de Dieu pour le rétablissement de la justice. FFF)


En cas d’agression, de conflit ou de malheur, subit par une personne, tout être humain a le devoir de secourir la victime, selon ses possibilités et de lui porter assistance selon ces moyens dans le cadre de la solidarité puis de devoir d’assistance ordonné par le livre de Dieu ; le consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité a dit : “Ne te tiens pas auprès d’un homme qui est tué iniquement, car la malédiction s’abat sur celui qui assiste à ce forfait sans défendre la victime. Il a dit la même chose pour celui qui est frappé iniquement.


Cela est un rappel de la loi que Jésus a enseigné selon Mathieu 5.17 à 19, en conformité avec les 10 commandements, il est dans cette loi dans Essaie 58.7. Et ne te détourne pas de ton semblable. 58.8 Alors ta lumière poindra comme l’aurore, et ta guérison germera promptement ; ta justice marchera devant toi, et la gloire de l’Éternel t’accompagnera. 58.9 Alors tu appelleras, et l’Éternel répondra ; tu crieras, et il dira : me voici ! Si tu éloignes du milieu de toi le joug, les gestes menaçants et les discours injurieux, 58,10… Si tu rassasies l’âme indigente (qui demande ses besoins ou réclame justice), ta lumière se lèvera sur l’obscurité, et tes ténèbres seront comme le midi. 58.11 L’Éternel sera toujours ton guide, il rassasiera ton âme dans les lieux arides, et il redonnera de la vigueur à tes membres ; tu seras comme un jardin arrosé, comme une source dont les eaux ne tarissent pas. En conformité avec les 10 commandements, il est dit dans Deutéronome 27.14 et les lévites prendront la parole, et diront d’une voix haute à tout Israël :… 27,17 Maudits soit celui qui déplace les bornes de son prochain ! — Et tout le peuple dira : amen ! 27.18 Maudit soit celui qui fait égarer un aveugle dans le chemin ! Et tout le peuple dira : amen ! 27.19 Maudit soit celui qui porte atteinte au droit de l’étranger, de l’orphelin et de la veuve ! — Et tout le peuple dira : amen ! … 27.24 maudit soit celui qui frappe son prochain en secret ! — Et tout le peuple dira : amen ! 27.25 Maudit soit celui qui reçoit un présent pour répandre le sang de l’innocent ! — Et tout le peuple dira : amen ! 27.26 Maudit soit celui qui n’accomplit point les paroles de cette loi, et qui ne les met point en pratique ! — Et tout le peuple dira : amen ! Cette loi est bien sûr de portée générale, car elle montre les conséquences de ne pas respecter les 10 commandements ; essaie 58.6. Détache les chaînes de la méchanceté, dénoue les liens de la servitude, renvoie libres les opprimés, et que l’on rompe toute espèce de joug ; et tout cela en application des 10 commandements, que Jésus a enseigné qui sont montrés dans le chapitre ci-dessous.


Il est donc grand temps que la communauté internationale s’organise pour ne plus laisser les innocents se faire tuer injustement par des inconscients qui ont l’opportunité de se trouver au pouvoir, et prennent toute les dispositions pour arrêter ces assassins mêmes s’il faut les combattre par les armes comme ils utilisent ces mêmes armes contre des innocents, le plus souvent désarmé en plus comme le livre de Dieu l’ordonne en disant Chapitre 2, verset 190. Combattez dans le sentier de Dieu>> ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Dieu>> n’aime pas les transgresseurs ! 193. Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Dieu>> seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes.


2 — Le droit à rétablir à la concorde et l’entente entre les croyants (ou entre les êtres humains) quand ils sont en conflit (même commentaire que ci-dessus en FFF)


Selon les versets du livre de Dieu qui est le consolateur, ci-dessous, la bonne démarche quand on a un litige avec un individu ou un groupe d’individu, est de rappeler ces droits à la personne, en se faisant accompagner de personnes qui ont autorité en la matière, c’est-à-dire ceux qui maîtrise le livre de Dieu dans ce détail, surtout ces enseignements appliqués aux cas qui est l’objet de conflit ou de litige : Chapitre 51, verset 55. Et rappelle ; car le rappel profite aux croyants. Chapitre 16, verset 125. ‘Par la sagesse et la bonne exhortation, appelle (les gens) au sentier de ton Seigneur.’. Puis l’arbitre doit juger selon le livre de Dieu, en donnant disant les droits et les devoirs de chacun selon le livre de Dieu qui est le consolateur et ne pas juger selon le livre de Dieudonne une preuve de mécréance contre la personne qui fait cela. : Chapitre 4, verset 59. ô les croyants ! Obéissez à Dieu >>, et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement. Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyer-là à Dieu >> et au Messager, si vous croyez en Dieu >> et au Jour dernier. Ce sera bien mieux et de meilleure interprétation (et aboutissement). À partir de ce moment, toute personne doit agir en fonction des droits que Dieu a fixés dans le livre de Dieuen restituant les droits de son prochain injustement pris.


C’est seulement quand une des parties refuse de se conformer au principe du livre de Dieu que l’on doit mobiliser les forces contre lui afin de le contraindre à donner les droits de son prochain par les moyens les plus efficace pour cela, sans faire du mal à la personne, en respectant les limites fixées par le livre de Dieu, car l’objectif dans ce cas n’est autre que restituer le droit de la personne lésée, qui est injustement pris, sans plus comme Dieu le dit : chapitre 49, verset 9. Et si deux groupes de croyants se combattent, faites la conciliation entre eux. Si l’un d’eux se rebelle contre l’autre, combattez le groupe qui se rebelle, jusqu’à ce qu’il se conforme à l’ordre de Dieu. Puis, s’il s’y conforme, réconciliez-les avec justice et soyez équitables, car Dieu >> aime les équitables. 10. Les croyants ne sont que des frères. Établissez la concorde entre vos frères, et craignez Dieu >>, afin qu’on vous fasse miséricorde. L’exemple de Ali, lorsque que sur ordre du consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité qui lui a ordonné de lui donné les clés de la Kaba après la conquête de la Mecque, clé qui était dans les mains de Ousmane qui refusait de lui donné par ce qu’il réclamait le fait d’avoir plus droit à cela, Ali® a contraint, Ousmane par la force en lui arrachant de force la clé de sa main pour la remettre au consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité ; cela a été fait sans faire de mal à Ousmane au-delà de le contraindre à remettre les clés, par ce que le consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité, ne connaissant pas le droit de Ousmane sur ces clés, le lui avait ordonné. Le consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité, quand il est rentré dans la Kaba, a été informé par Dieu, que Ousmane avait raison et qu’il avait plus de droit de garder les clés de Kaba, le consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité a alors ordonné de remettre les clés de la Kaba a Ousmane en disant qu’il venait d’être informé par Dieu, que Ousmane avait le plus de droit de garder les clés de la Kaba. Ali a ainsi remis les clés de la Kaba à Ousmane en lui présentant des excuses qui furent acceptées par Ousmane. Un autre exemple est dans la manière dont Ali® a protégé la mère de croyants, aicha, dont Aboubakr, lors de la bataille du chameau, pendant le califat de Ali, est aussi un exemple qui montre le comportement que les croyants doivent avoir entre en cas de conflit ; le rétablissement de la justice, et la miséricorde entre eux doit dominer, sur tout le reste, car de toute manière ce monde et ce qu’il contient font partie de l’insignifiant des insignifiants si on voyait l’au-delà et tout cela est encore plus insignifiant si on voyait Dieu, et cela en tout point de vue.



3 — Le fait de s’allier avec les oppresseurs, et donc de ne pas respecter le droit des innocents subissant une injustice à ce que personne ne s’allie avec leurs oppresseurs, et au contraire ne les combatte (même commentaire qu’en FFF)


Selon la loi enseignée par Jésus, selon Mathieu 5. 17 à 18, dans Essaie 30.1, cette loi dit « Malheur, dit l’Éternel, aux enfants rebelles, qui prennent des résolutions sans moi, et qui font des alliances sans ma volonté, pour accumuler péché sur péché ! 30.2 Qui descend en Égypte sans me consulter, pour se réfugier sous la protection de Pharaon, et chercher un abri sous l’ombre de l’Égypte ! 30.3 La protection de Pharaon sera pour vous une honte, et l’abri sous l’ombre de l’Égypte une ignominie » ; cela est rappelé par le consolateur, l’Esprit saint, l’esprit de vérité, dans le livre de Dieu qu’il a enseigné ou Dieu dit au chapitre 4, verset 144 ô, les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les mécréants au lieu des croyants. Voudriez-vous donner à Dieu>> une preuve évidente contre vous (de votre mécréance) ? Chapitre 60, verset 13. ô vous qui avez cru ! Ne prenez pas pour alliés des gens contre lesquels Dieu>> est courroucé et qui désespèrent de l’au-delà, tout comme les mécréants désespèrent des gens des tombeaux. Chapitre 58, verset 22. Tu n’en trouveras pas, parmi les gens qui croient en Dieu>> et au Jour dernier, qui prennent pour amis ceux qui s’opposent à Dieu>> et à Son Messager, fussent-ils leurs pères, leurs fils, leurs frères ou les gens de leurs tribus. Il a prescrit la foi dans leurs cœurs et il les a aidés de son secours. Il les fera entrer dans des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, où ils demeureront éternellement. Dieu>> les agrée et ils l’agréent. Ceux-là sont le parti de Dieu>>. Le parti de Dieu>> est celui de ceux qui réussissent.



c) — Un autre droit à la solidarité a tous les niveaux, le droit au repos en cas de vieillesse en étant pris en charge totalement matériellement, spirituellement, religieusement et moralement


1 — Le fait de ne pas assister les personnes âgées (Dieu ordonne la solidarité à tous les niveaux et dans tous les domaines et entre tous les individus et particuliers vis-à-vis de nos pères et mères et des personnes âgées en général qui doivent être totalement pris en charge de manière prioritaire…)


Chapitre 2, verset 215. Ils t’interrogent : « Qu’est-ce qu’on doit dépenser ? » — dis : « Ce que vous dépensez de bien devrait être pour les pères et mère, les proches, les orphelins, les pauvres et les voyageurs indigents. Et tout ce que vous faites de bien, vraiment Dieu >> le sait ». Chapitre 17, verset 23. et ton Seigneur a décrété : « n’adorez que lui ; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi ; alors, ne leur dis point : “Fi !” et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. 24. et par miséricorde ; abaisse pour eux l’aile de l’humilité ; et dis : “Ô, mon Seigneur, fais-leur ; à tous deux ; miséricorde comme ils m’ont élevé tout petit ». Chapitre 2, verset 180. On vous a prescrit, quand la mort est proche de l’un de vous et s’il laisse des biens, de faire un testament en règle en faveur de ses pères et mères et de ses plus proches. C’est un devoir pour les pieux. Chapitre 5, verset 2. Entraidez-vous dans l’accomplissement des bonnes œuvres et de la piété et ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression. Et craignez Dieu >>, car Dieu >> est, certes, dur en punition ! Chapitre 9, verset 34. À ceux qui thésaurisent l’or et l’argent et ne les dépensent pas dans le sentier de Dieu, annonce un châtiment douloureux.

Tous les systèmes de solidarité la plus efficace permettant de réaliser ces versets dans tous les domaines de la vie et à tous les niveaux, pour tous les pères et mères en impliquant leurs enfants respectifs selon leurs possibilités sont les meilleurs systèmes de solidarité. Il ne suffit pas seulement de pouvoir matériellement au besoin des parents, mais ils faut en plus tous le cadre affectif, familial et l’amour et toutes les autres formes de prise en charge dans ce monde, avant pendant et après le mort pour que les parents soient à l’aise là où ils désirent être, à chaque instant de leur vie et ne soient pas dans la gêne, et sachent ce qu’il faut faire pour ne pas aller en enfer et aller au paradis après la mort. Les vivants doivent continuer à prier pour les morts s’ils sont morts dans la foi pure en Dieu sans injustice. Pour ceux qui sont morts dans la mécréance, personne ne peut plus rien pour eux, car Dieu dit : chapitre 9, verset 113. Il n’appartient pas au Prophète et aux croyants d’implorer le pardon en faveur des associateurs, furent-ils des parents alors qu’il leur est apparu clairement que ce sont les gens de l’Enfer. Si la personne ne faisait pas les 5 prières obligatoires comme le livre de Dieu l’ordonne, personne ne doit prier pour elles, car elle fait partie des associateurs dont Dieu parle dans ce verset. Nous devons donc tout faire pour que le maximum de gens se convertisse à la pratique du livre de Dieu, avant de mourir, car c’est la seule voie de salut dans ce monde et dans l’au-delà.



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